E. MOREAU-NELATON, La Cathédrale de Reims, Paris, Librairie centrale des beaux arts, 1915
E. MOREAU-NELATON, La Cathédrale de Reims, Paris, Librairie centrale des beaux arts, 1915
E. MOREAU-NELATON, La Cathédrale de Reims, Paris, Librairie centrale des beaux arts, 1915
E. MOREAU-NELATON, La Cathédrale de Reims, Paris, Librairie centrale des beaux arts, 1915
E. MOREAU-NELATON, La Cathédrale de Reims, Paris, Librairie centrale des beaux arts, 1915
E. MOREAU-NELATON, La Cathédrale de Reims, Paris, Librairie centrale des beaux arts, 1915
E. MOREAU-NELATON, La Cathédrale de Reims, Paris, Librairie centrale des beaux arts, 1915
E. MOREAU-NELATON, La Cathédrale de Reims, Paris, Librairie centrale des beaux arts, 1915
E. MOREAU-NELATON, La Cathédrale de Reims, Paris, Librairie centrale des beaux arts, 1915
E. MOREAU-NELATON, La Cathédrale de Reims, Paris, Librairie centrale des beaux arts, 1915
E. MOREAU-NELATON, La Cathédrale de Reims, Paris, Librairie centrale des beaux arts, 1915

E. MOREAU-NELATON, La Cathédrale de Reims, Paris, Librairie centrale des beaux arts, 1915

E. MOREAU-NELATON, La Cathédrale de Reims, Paris, Librairie centrale des beaux arts, 1915

109 pp. + 135 planches photographiques + table des gravures. fort volume in-4 de 22 x 25,5 cm. Superbe reliure plein vélin, décoré à l’encre, léger défaut des plats qui ont tendance à tuiler (voir photos). Papier frais, tranche de tête dorée.

C’est durant la guerre que Nélaton produit cet hymne à la Cathédrale de Reims , touchée par les bombardements allemands en septembre 1914

« Qui ne ressent encore le poignant émoi de cette soirée de septembre où le premier acte de l’horrible attentat nous fut révélé? On a pu dire sans exagération qu’en ce jour-là, ceux qui pleuraient un fils trouvèrent encore des larmes pour la sainte église. »

Témoignage en 135 planches photographiques d’après Doucet et Rothier de la beauté de l’architecture gothique et des dégats des ogives ennemis.

L’ouvrage, bien connu des bibliophiles rémois, est d’habitude conservé dans une reliure pleine toile de l’éditeur.
Ici le livre est superbement habillé d’une reliure plein vélin, qui a été illustrée à l’encre par une main anonyme. Sur le dos on trouve l’ange souriant, et sur les plats la cathédrale en flamme et une scène de décombres après le bombardement (qui reprend une des photos de l’album).

Exemplaire unique dans une reliure exceptionnelle

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